jeudi 7 avril 2011


Quel bon moment j'ai passé en compagnie de ce bouquin!
Me voilà fan de ces 200 grammes de litté...15 nouvelles / contes (faudrait que j'aille voir dans le coin le "genre" qui pourrait correspondre à ces petites histoires drôles, prenantes, touchantes, envoûtantes et deroutantes...pas mal de trucs)...on s'ennuit pas. Y'a du Antonio Pérez Abril et y'a aussi du Pedro García Martínez...la mi-lyonnaise vous dit: trop bon! Un petit sourire de lectrice pour:

- "Un día de resaca": mes lendemains de teufs ne sont pas comme ceux du personnage principal... et encore moins quand on se retrouve entre copines après ces fameuses soirées de gala. Ceci dit, ces hommes du lendemain m'intriguent toujours autant.

- "Make my day": ça sent les bonnes pâtes à la tomate et la conspiration léonnaise ( de Léon, des mafieux, des liquidateurs, des hommes qui transpirent sans que ça ne puissent se voir, etc...). - "Mi hermano Alberto": quelle veillée au village! Moi aussi je suis tombée dans le puit en tournant les pages. Il a bien de la chance ce frère du perso principal.

- "El extraño caso de la cama quince": j'ai pas accroché au début mais le mieux était à venir. Petite pensée à Hombre mirando al...de E.Subiela. Les fous sont fascinants, mais qui sont-ils vraiment? Et je dois dire que j'apprécie fortement les récits avec des pépés et des mémés et leurs histoires bien plus loufoques les unes que les autres.

Où le trouver? VOUS CHERCHEZ SUR INTERNET! comme tout le monde voyons!

Tuve la alegría de leer en el suplemento Ababol (La verdad, Murcia, España) una pequeña reseña de L'âme oblique. Entonces se entiendo todo: estuve escribiendo, pero nada en mis cuadernos sino que todo en mi corazoncito.

Cómo agradecer tales atenciones. Los sueños se cumplen, las cosas van bien. Sí, se cumplen los sueños, se cumplen de todos modos. No todos, bien lo sabemos. Pero a veces, funciona emprender otras formas.

Gracias a los críticos de Ababol. Las palabras...acerca de las palabras de Vicente que acostamos tiernamente en mil camas durante mil noches en los mil trazos de Julio...me gustan bastante. Y las palabras van y vienen, de un idioma a otro y me...fff...me mola muxo.

Gracias G.